Banc de brûlage

Cet outil unique permet de déterminer l’efficacité du brûlage, la composition des imbrûlés ainsi que la contamination éventuelle de la colonne d’eau.

Une technique controversée

Pratiquée à grand échelle lors l’accident de la plateforme Deepwater Horizon en 2010 dans le Golfe du Mexique, l’utilisation du brûlage in situ pose encore de nombreuses questions. Parmi elles : la caractérisation chimique des imbrûlés selon la nature de l’hydrocarbure, l’évolution de la toxicité des imbrûlés sur le milieu et l’intérêt des absorbants thermorésistants.

 

Un outil pour étudier son efficacité et ses impacts

C’est pour trouver des réponses que les équipes du Cedre ont conçu le banc de brûlage qui permet de tester :

  • l’inflammabilité d’un échantillon d’hydrocarbure ;
  • le rendement de brûlage en fonction de la nature du pétrole et de son degré de vieillissement ;
  • la caractérisation physique et chimique des résidus flottants et coulants ;
  • la toxicité potentielle des résidus ;
  • la caractérisation des suies.
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